Accueil

Analyse

Histoire

F. A. Q.

Formation

Mémoire

Liens

 LE COURRIER EST RELEVE CHAQUE SEMAINE

 

témoignage 2003

témoignage 2004

témoignage 2005

 

 

 

      TEMOIGNAGES PARUS EN 2004     

      TEMOIGNAGES PARUS EN 2004     

 

LISTE  DES  PRINCIPAUX  THÈMES  ABORDÉS

Patient et hospitalisation

Définition et théorie

Congrès et publications

 

 

 

bonjour, je suis étudiant en 3eme année d'études infirmières. en parcourant votre site je m'aperçois que le délire est classé dans la partie intitulée " Pathologies psychiatriques" or j'ai appris que le délire était un symptôme non une pathologie... merci

126

Réponse : vous avez entièrement raison, le délire se classe dans les symptômes. Si nous l'avons rangé dans la liste des pathologies, c'est parce qu'il a longtemps constitué un groupe à part dans la psychiatrie traditionnelle, qui proposait alors cette "définition du délire". C'est une bien mauvaise excuse qui nous a été très pratique pour lui trouver une place où paraître! Merci à vous pour votre remarque pertinente et à bientôt.

B. U.

 

Paris, le 6 novembre 2004. Madame, Monsieur, Je vous avais écrit l'an dernier pour vous informer de la création d'un nouveau diplôme inter-universitaire sur l' "Abord des enfants errants, en danger, dans les rues des mégapoles". Convaincu que la présence des enfants des rues dans les grandes villes du monde est un phénomène émergeant et universel, qui nécessite une approche spécifique, il m'a en effet semblé important de construire une formation à destination des personnels qui seront amenés, en France ou à l'étranger, à travailler auprès de ces enfants. Les enseignements sont dispensés au sein des universités de Créteil et de St Antoine, et réunissent universitaires et spécialistes de terrain ; nous avons souhaité mettre en perspective, par la variété des intervenants, les différentes approches et réflexions sur le sujet. La première promotion a été diplômée en octobre dernier après validation des acquis théoriques et pratiques reçus au cours de cette année. Vous trouverez ci-joint .../... l'affiche présentant les objectifs et axes pédagogiques du diplôme, et les modalités d'enseignement et d'inscription pour 2004/2005. Mon équipe reste à votre disposition pour toute information complémentaire (contacter Marie-Anne Cantin : 01.53.66.12.62 - m.cantin@samu-social-international.com). Cette année encore, j'ai pensé qu'une telle formation pourrait vous intéresser. Vous remerciant par avance de l'attention que pourrez porter à ce courrier en faisant connaître ce nouveau diplôme autour de vous, je vous prie de croire, Madame, Monsieur, à l'assurance de mes sincères salutations. Président du Samu social international,

125

 

Dr Xavier Emmanuelli

 

Bonjour ! Je suis I.S.P depuis les années 80, je travaille dans un C.M.P pour enfants et ados. Après un constat suite travail de réseau et dans le cadre de la prévention, le psyco-mot et moi-même allons proposer, dans la cité, un atelier sur la relation parents\enfants en utilisant la relaxation comme médiation. Si des collègues ont une expérience dans ce cadre, nous aimerions échanger sur nos pratiques. Merci
P.S : nous sommes à la recherche d’un(e) orthophoniste. Voici notre adresse : cmp_vimoutiers_enf@cpo-alencon.net 

124

 

 

 

Bonjour, actuellement élève infirmière en troisième année à l' I. F. S. I. Tenon (AP-HP), je réalise mon mémoire sur l'art thérapie en pédopsychiatrie et ses répercussions sur la prise en charge infirmière d'enfants autistes ou psychotiques âgés de 6 à 10 ans. Je me permets de prendre contact avec vous afin de trouver des infirmier(e)s qui accepteraient de répondre à mon enquête. Voici mes coordonnées: Guilgautc@aol.com Je vous remercie par avance de l'aide que vous m'apporterez, Cordialement,

123

Caroline G.

 

une amie proche de moi va donc subir des séances d'e c t! Permettez moi en temps que simple citoyen au vu des informations recueillies ici et là de douter sur l'efficacité de ce traitement... au vu des séquelles qui apparaitraient ensuite! Comment en effet ne pas s'insurger que ces methodes limites étranges et je me modère, puissent tempérer ou guérir d'une dépression! Pourquoi provoquer une crise????? Pourquoi au contraire, ne pas la provoquer...puisque il s'agit bien de cela non? Ne pas provoquer! Mais soigner? Comment me faire entendre à ce sujet? Guerir ce mal de la dépression en la provoquant???!!! Je suis ds le doute complet!!! Pourquoi triturer l'esprit ainsi? Sommes nous revenus en arrier??? Quand je vois sur ce site ou plutot quand je ne vois pas sur ce site des témoignages de personnes qui grace à ce système ont recouvré quelques satisfactions probantes de leur état de santé, je doute aussi!! Je doute. Aucune preuve n'est apporté sur le bien fondé de cette pratique!!! Mon amie est fragile et aux mains de medecins qui l'utilise comme cobaye...salle petrière a Paris !! Je ne doute plus;;je m'insurge! Et le protocole d'accord??? Certes l'on fait signer... et ensuite tant pis si cela ne marche pas? On essaie juste pour satisfaire son égoisme profond??? Je doute et je condamne ces pratiques!

122

 

J. M. P.

 

Auriez-vous la gentillesse d'annoncer sur votre site les références d'un ouvrage que notre association trouve intéressant de communiquer aux professionnels concernés par les difficultés qu'on peut rencontrer avec certains enfants issus de l'adoption ? Il s'agit de : "La Blessure Primitive - Comprendre l'Enfant Adopté" de Nancy Verrier, aux éditions De Boeck. Résumé : La "Blessure Primitive" est un livre qui pourrait révolutionner la façon de penser l'adoption. En appliquant les données de la psychologie prénatale et périnatale et celles sur l'attachement, la création du lien et la perte, il détaille les effets de la séparation des enfants adoptés d'avec leur mère de naissance. De plus il donne à ces enfants, dont la souffrance a longtemps été méconnue ou mal comprise, la validation de leurs sentiments ainsi qu'une explication à leurs comportements. L'éclairage qui est donné aux expériences d'abandon et de perte contribuera non seulement à l'apaisement des adoptés, de leurs familles adoptives et de leurs mères de naissance, mais apportera compréhension et encouragement à ceux qui se sont sentis abandonnés dans leur enfance.
merci beaucoup. Bien à vous
Président asbl PETALES

121

 

R. Bergen

 

Bonjour, Si c'est exact, pourriez-vous me dire dans quel livre ou article Freud a donné son avis sur le conflit Israélo-Palestinien? J'en ai entendu parler plusieurs fois mais je n'en trouve aucune trace nulle part. Je vous remercie par avance pour votre réponse. 

120

Réponse : il existe un courrier de Freud dans lequel il aborde le conflit dont vous parlez. Nous n'avons pas connaissance d'autres parutions sur ce thème. Merci pour votre courrier et à bientôt. 

C.F.

 

Bonjour, Je m' appelle Guillaume, je suis un élève infirmier de troisième année de l' école de Poitiers. Je réalise actuellement un mémoire sur la relation soignant-soigné en psychiatrie face à une population adolescentes et de jeunes adulte, pourriez m' aider par rapport aux notions de transfert, contre-transfert, identification, projection. J' ai actuellement des difficultés à différencier le transfert avec l'identification. De plus, pourriez -vous me donner quelques quelques explications sur l' identification projective. Je vous remercie d' avance pour les réponses que vous pourriez m'apporter.

119

Réponse : voici une brève description des notions de "transfert, identification et identification projective". Bonne chance dans votre travail.

Guillaume 

 

Infirmier DE récemment diplômé et exerçant en intra hospitalier, dans une unité fermée pour adultes (et volontaire pour exercer en ce milieu), je m'interroge sur la façon d'approcher l'alcool avec le patient psychotique, et plus généralement avec le patient sous psychotropes. La question étant comment se comporter vis a vis de l'alcool, au cours de sorties thérapeutiques proposées a des patients hospitalisés? Deux solutions s'offrent aux soignants; la première et apparemment la plus courante étant de proscrire toute consommation d'alcool devant les patients. Cette solution semble satisfaisante, d'une part au point de vue de l'éducation a la santé que se doit de distiller tout soignant qui se respecte. D'autre part, parce que cela coupe court aux différentes interrogations concernant les effets secondaires liés a la consommation concomitante de psychotropes et d'alcool. Cela règle aussi la question: "Qui va avoir le droit de boire une goutte? Mr X parce que ceci, Me Y parce que cela, mais pas Melle Z parce que...". Dans ce cas de figure, les soignants présents, qui s'efforcent d'ouvrir sur le monde extérieur leur unité, afin de permettre au patient de découvrir ou de redécouvrir "notre réalité" (afin qu'un jour il y trouve sa place), lui présente une réalité biaisée, dénaturée. Combien de jeunes (et moins jeunes) hommes, assoiffés par une après midi caniculaire, vont se désaltérer en s'offrant un diabolo fraise? combien d'autres, au restaurant, accompagneront un menu gastronomique d'eau plate et de limonade?. Cette solution, a mon humble avis, présente au patient un monde édulcoré, qui n'est réel que le temps d'une journée de travail. 
L'autre solution consiste à réapprendre (et non à le lui apprendre) au patient psychotique que la vie c'est aussi partager une bière avec ses amis, que déguster un vin fait partie intégrante d'un repas d'exception. C'est la solution, à mes yeux, la plus satisfaisante, car la plus proche de la réalité, mais aussi la plus "glissante", pour plusieurs raisons. D'une part il ne faut pas inciter; le risque le plus inquiétant étant lié au mimétisme du comportement du soignant. D'autres dangers interpellent, notamment les risques liés aux traitements (cf ci dessus), et celui qui est de voir le patient psychotique incapable de gérer sa consommation, sombrer dans une morbide dépendance.
Au milieu de toutes ces données, je m'interroge encore, et n'ose avouer qu'à demi mots avoir parfois commandé un demi ou un quart de vin au cours d'activité thérapeutique... Votre avis m'intéresse! Qu'en pensez vous? vous, soignants en santé mentale?

118

Réponse : nous vous souhaitons la réception de nombreux témoignages ou avis. Merci pour votre courrier et à bientôt.

Nicolas, Loire atlantique.

 

Bonsoir, en parcourant votre site je me prends a rêver de (re)trouver des moyens "opérationnels" (compte tenu du nombre croissant d'étudiants) aidant à la formation des infirmiers en général et à ceux qui se destinent à la psychiatrie en particulier . Moi (formatrice) suis prise à l'ifsi dans un tourbillon de pratiques aussi diverses que dispersées avec lesquelles je me bats pour donner à l'enseignement des soins infirmiers une vie ou se retrouve le sens (l'essence) de pratiques réfléchies, où l'humain et la distance dite thérapeutique ne soient pas engloutis par les contraintes organisationnelles. Merci donc d'exister. Je ne manquerai pas de donner cette adresse aux étudiants avec lesquels je travaille.

117

Réponse : merci à vous pour cet encouragement à poursuivre notre action sur Internet. Bonne chance dans votre profession.

 V. cadre infirmière formatrice

 

 Vous pouvez lire le compte rendu d'un voyage d'étude sur la psychiatrie italienne. Si cela vous semble intéressant, vous pouvez le publier. Bonne semaine.

116

 

Yves Gigou

 

Bonjour, je me permets de vous informer d'un stage de formation à Auvergnier en Suisse, les 6 et 7 novembre prochains (2004). Voici le programme de ce stage: musicothérapie et autisme. Cordialement à vous,

115

 

Patrick MANET

 

Bonjour, Diplômé Psy depuis 74 (d'ailleurs, je dois être un des rares inf. Psy à avoir un DE), j'ai pas mal tourné, et j'ai pu oeuvrer dans des services de chir, mat, etc. J'ai eu la lourde tâche en tant que vieux routier de former des élèves, et il faut reconnaitre que sur ceux qui choisissaient la psy,peu avaient la motivation. Faire de la psy ou aller planter des carottes en basse provence. Je me bats toujours, malgré mes 50 ans et quelques prunes contre tout ce système. J'ai connu des inf. qui ont fait les 3 mois de stage pour l'équivalence, une véritable torture, et j'en passe. Il me plairait d'avoir quelques nouvelles de temps à autres si cela est possible. Merci

114

Réponse : nous vous remercions pour votre courrier, volontaire et motivé. Nous reproduisons cet exemplaire de diplôme d'état d'infirmier psychiatrique de 1974 que vous avez bien voulu nous transmettre; nous ne savions pas qu'il avait existé! Vous trouverez régulièrement ici une sélection de nouveaux témoignages sur la profession. Nous vous souhaitons bon courage et à bientôt.

Gtramaille@aol.com

 

 

"La mise à l’écart des I.S.P. et leur remplacement par des I.D.E. participe au projet inavoué de privilégier l’approche organiciste, au détriment de l’approche psychanalytique... Avec le risque majeur de réduire le soin psychiatrique à un soin somatique, et donc la maladie mentale à une maladie du cerveau". Actuellement infrirmier DE travaillant en psychiatrie et titulaire d'un DESS de psychologie clinique, je suis malencontreusement tombé sur des propos aussi inexacts que orduriers et qui ne font que cliver encore plus le fossé qui existe entre IDE et ISP. Je ne vous félicite donc pas, pour ce qui est de mon cas je travaille depuis bientot 8 ans en psychiatrie et la différence entre mes collegues isp et nous memes ne se voit qu'aux deficits de connaissances en clinique. D'autre part je trouve parfaitement risible "l'objectif inavoué" de on ne sait qui (peut etre l'ennemi de l'extérieur ah ah ah!!) pour "remplacer" les isp par les ide qui ne sont que des pas bons infirmiers tout pourris. D'autre part l'approche psychanalytique n'a hamais fait l'unanimité en psychiatrie, vous etes prié de vous documenter, nous ne sommes pas en ambulatoire. Je trouve dommage d'etre aussi réducteur et disons le fascisant par de tels propos. Je ne vous dis pas merci

113

Réponse : voici nos réponses à vos remarques. -Vous parlez des déficits de connaissances en clinique pour les infirmiers DE (c.à.d. leur manque d'expérience acquise auprès du malade): mais au terme de vos 8 ans de pratique, n'avez-vous pas remarqué que les différences à ce niveau entre IDE et ISP ont disparu! Nous vous invitons à lire par-contre les témoignages (7, 42, 62, 89, 90... etc.) et vous verrez qu'en fait, c'est essentiellement la théorie qui fait défaut à la formation infirmière.//-Vous supposez (pour mieux le railler) un prétendu "ennemi extérieur"qui aurait remplacé les ISP par des DE... nous n'avons jamais osé pousser la réflexion jusque-là, mais ce qui est certain c'est que la décision d'interrompre définitivement leurs programmes de formation (et donc à court-terme leur existence professionnelle) a été prise contre les ISP, et non par eux. Et nous ne voyons d'ailleurs pas ce qu'il peut y avoir de risible à cela.//-Où avez-vous lu que nous avons soutenu que l'approche psychanalytique ait parfois fait l'unanimité en psychiatrie? Documentez-vous, commencez par lire entièrement la page analyse ("parmi plusieurs écoles de pensée..."). Il y est plutôt fait état de diversité.//-Enfin vous parlez de "propos aussi inexacts que orduriers": nous ne prétendons certes pas détenir la vérité, mais nous sommes par-contre certains de n'avoir jamais été orduriers: nous vous laissons donc la responsabilité de vos termes "pas bons infirmiers tout pourris" et "fascisant", termes que vous n'avez sûrement pas trouvé dans le site. Mais l'avez-vous bien lu?

M.G.

 

Bonjour, L'A.R.S.I (Association de Recherche en Soins Infirmiers) organise à Paris les 27 et 28 janvier 2005 ses prochaines journées d'études sur le thème : «Le concept de résilience dans la pratique des soins». Vous trouverez également une bibliographie sur la résilience. http://www.arsi.asso.fr/jearsi.htm Merci de faire passer le message ...

112

 

Guy ISAMBART

 

Bonjour. Je suis arrivé par hasard sur votre site que j'ai parcouru en long en large et en travers (j'avais du temps!). Nous allons vers une psychiatrie qui ménage les patients, rassure les familles et convient aux équipes. Elle correspond à la vision que la société se fait de la maladie, fut-elle mentale. Cela a détruit l'exception psychiatrique française, et mis hors-jeu l'infirmier de secteur psychiatrique, professionnel qui l'incarnait le mieux. Mais il y a aussi un aspect financier: la direction de la santé a cru faire des économies sur le dos de la psychiatrie en l'amputant de ses repères culturels et historiques; ce fut une grande erreur: cela va contribuer à la montée de la violence en son sein et entraîner sa dislocation. Quant aux nouvelles équipes infirmières, une profession qui ne sait pas d'où elle vient aura les plus grandes difficultés pour savoir où elle va!

111

 

R.G. soignant

 

Après un problème technique empêchant l'accès au site http://www.hypnosemedicale.com celui-ci est de nouveau accessible en ligne. Nous y annonçons un colloque qui aura lieu en octobre 2004, sur le thème de "hypnose et dissociation psychique". Si vous pouvez nous ajouter à vos liens la prochaine fois nous vous en serions reconnaissants. Cordialement.

110

 

le webmaster

 

-HUMEUR CANICULAIRE- Lettre ouverte aux vaticinateurs et autres planificateurs.

109

 

Yves Gigou

 

Veuillez trouvez ci-joint le communiqué de presse commun GIPSI - GIT - SNIA - SNIIL - FNESI - UIF - Collectif infirmier appellant à la création d'un ordre infirmier français. Merci de faire passer le message ....

108

 

Guy Isambart

 

Bonsoir, Je reviens visiter votre site. je constate qu'il est un beau lieu d'échange. Bravo ! je voulais témoigner sur la formation des futures infirmières en IFSI ; J'interviens moi-même dans une IFSI de la banlieue parisienne dans un module optionnel "art et santé " ; (j'en avais déjà parlé, il y a 2 ans environ) et je trouve que les élèves sont très intéressants et ouverts. Je corrige aussi des TEFE, sur les thèmes du soin relationnel, de l'art-thérapie, du massage.  Je vois que çà bouge. Je suis pleine d'espoir pour l'avenir. Je suis certaine que ce sont  les aides-soignantes et  les infirmières qui feront bouger les choses dans les hôpitaux et non les lois. Il ne faut  surtout pas baissé les bras. Se reposer, danser, rire, chanter et repartir au combat.  Après, chacun sa manière de combattre, mais c'est toujours mieux de le  faire avec la Non -Violence et l'Amour. Je terminerais avec la parole du père Guy Gilbert : "avec la foi, on peut soulever des montagnes, pas avec la loi". Alors, fortifions notre foi ensemble ! A bon entendeur.

107

 

Claire, Citoyenne du Monde

 

L' association du Festival Psy et le Centre National Audiovisuel en Santé Mentale (CNASM) sont heureux de vous faire part de la remise à jour de leur site internet sur lequel vous pourrez trouver l'actualité du festival ainsi qu'un catalogue de plus de 300 titres de vidéos traitant de la santé mentale et publique: www.cnasm.prd.fr 

106

 

 

 

Madame, Veuillez trouver ci-joint le programme d'une journée que notre association sans but lucratif "PETALES" (Parents d'Enfants présentant des Troubles de l'Attachement : Ligue d'Entraide et de Soutien ) organise sur le thème de l'"ADOPTEPARENTALITE", et qui pourrait intéresser certains de vos membres. Merci pour la diffusion. Bien à vous.

105

Réponse : nous précisons ici que cette journée est proposée aux (futurs) parents adoptifs ainsi qu'à tous ceux que l'adoption intéresse...

R. Bergen
Président asbl PETALES

 

Bonjour, peut-être accepterez-vous de diffuser l'annonce de l'appel à communication ci-joint pour les journées que nous préparons sur le thème "Au risque de l'humour" ? Merci de votre collaboration et bravo pour la partie formation de votre site : très complète, elle reflète bien la densité des modules psy de feue la formation d'infirmier de secteur psychiatrique...

104

 

C.D.

 

 Pourriez-vous me dire qui est l'auteur de cette citation: "L'enfant est le père de l'homme?" Est-ce Bruno Bettelheim? De quel ouvrage est tiré cette citation ? Merci 

103

Réponse : bonjour, il s'agit de Wordsworth, poète anglais (William Wordsworth) 
-"L'enfant est le père de l'homme"- extrait de "L'arc-en-ciel"... Mais S. Freud a repris le sens de la formule dans son "Abrégé de psychanalyse" (publication posthume) où il précise que du point de vue psychanalytique "l’enfant est le père de l’adulte".

J.C.B.

 

Bonjour, je suis contente d'avoir trouvé un site propre à la profession psy. je suis infirmière en psychiatrie depuis plus de 25 ans,actuellement dans un service fermé,de patients placés tous par contrainte.J'avoue que depuis quelques temps je me sens semée par tous les changements imposés par la loi et autres. Je me demande quel est mon avenir des 10 prochaines années dans un service qui privilégie les écrits au détriment de plus de communication, patients et équipes ? Si vous le pouvez donnez quelques nouvelles sources d'intéret car au fond j'aime mon métier.

102

Réponse : nous trouvons nous aussi qu'il y a beaucoup de changements dans la profession ces derniers temps (et la communication avec les patients en fait effectivement les frais!). Nous espérons que le site contribuera à donner un nouvel intérêt à votre métier, malgré l'avenir incertain. Merci pour votre témoignage, bon courage et à bientôt.

E.M.

 

Je tenais particulièrement à vous remercier pour votre site extrêmement clair, concis et accessible : une mine d'or pour l'étudiante en IFSI 2ème année que je suis et qui fait ses premières armes dans le domaine de la
psychiatrie, secteur qui passionnant, tant au niveau de la psychiatrie adulte que de la pédopsychiatrie. Malgré les différents qui opposent les infirmiers venus de différentes formations, j'espère bien avoir le bonheur d'exercer dans ce domaine de soin. Je me dis que finalement, à partir du moment où je suis volontaire et
passionnée, les petites bases qui m'auront été données lors de ma formation ne demanderont qu'à grandir au sein d'une équipe confirmée...

101

Réponse : bravo pour votre volonté et votre enthousiasme! Quand bientôt vous en ferez profiter vos futurs collègues, vous verrez que c'est toute l'équipe qui en sortira grandie! Merci pour vos encouragements et à bientôt

S.B.

 

Bonjour, peut-on parler de spécificité du soin infirmier et comment caractériser cette spécificité sans tomber dans l'éternel et pourtant justement écarté "plus de relationnel". Cela se joue-t-il au niveau de la symbolique. Merci

100

Réponse : vous avez raison, la spécificité du soin en psychiatrie réside essentiellement dans l'importance qui y est accordée au symbolique (consulter ici la différence entre le symbolique et la symbolique). "Quel est le sens donné à ce comportement, à ce symptôme, à ce mot, à ce silence... etc.?" Alors que le soin somatique, quant à lui, privilégiera plus particulièrement le niveau du réel. Mais c'est bien là une des ambiguïtés de la psychiatrie biologique actuelle qui prétend ne traiter le trouble psychique qu'en intervenant au niveau du réel, par sismothérapie, par injections... Nous vous conseillons la lecture de l'article du professeur ZARIFIAN paru dans le journal "Le Monde" le 14.04.04. Cette contradiction a amené de fait une grande partie de la psychiatrie de ces dernières années à ne plus voir et ne plus traiter que des symptômes. Cela a aussi entraîné la description de nouvelles maladies, comme par exemple les TOC, là ou auparavant étaient décrites des défenses contre l'angoisse. Cela explique enfin qu'il n'y ait désormais, depuis la suppression de la formation ISP, que si peu de psychiatrie analytique enseignée dans les IFSI. Alors votre question est en effet d'actualité: peut-on (toujours) parler de spécificité du soin infirmier?

g.

 

Bonjour et bravo pour vos positions, j'ai remarqué les nouveaux soignants formés sur le tas nous parlent des problèmes des DE comme si nous concernait et si on leur demande d'arréter ils ne comprennent pas. En revanche ils n'ont pas notion de ce qu'on nous demandait de savoir à l'époque pas si lointaine pour pouvoir travailler en psy. Eux ils arrivent sans formatioon ils s'installent et ils se disent soignants. Maintenant pour travailler en psy il suffit de rien savoir et d'obéir au medecin. c'est cool non! Bonne continuation

099

 

M.T.

 

Merci de diffuser ce texte, l'heure est grave, nous glissons tranquillement vers une société autoritaire voir plus... "réflexions après débats a la croix-marine sur l'urgence en psychiatrie".

098

 

Yves Gigou

 

Bonjour, étudiant en IFSI 3ème année et désireux, malgré le désavantage flagrant de ne pas être né assez tôt pour avoir bénéficié de la même formation que vous, de travailler en secteur psychiatrique, je prépare actuellement mon TFE avec pour question de départ: "quels éléments peut-on identifier pour expliquer les difficultés des infirmiers des services de médecine à prendre soin des patients hospitalisés dans leur service lorsqu'ils présentent un trouble psychologique?"
J'ai effectivement relevé chez de nombreux IDE des signes de rejet manifeste des patients catalogués "Psy". Ce rejet a de nombreuses causes mais l'une d'elle semble être un déficit de formation. Sur ce point particulier votre site apporte des éclairages, mais je voudrais tout de même vous soumettre une réflexion qui m'a été faite: "comment les IDE pourraient ils se former d'avantage si ils se heurtent à une forme de replis identitaire des ISP?". Croyez-vous qu'une transmission des savoirs est possible en dépit des rancoeurs et de l'amertume d'une profession en voie de disparition? Pour ma part je le souhaite, et je constate que votre site y contribue. Je vous serais d'ailleurs très reconnaissant si vous pouviez me fournir des éléments sur les causes pouvant induire un rejet des personnes souffrant de troubles psychiatriques. Merci par avance et bonne continuation à votre site

097

Réponse : nous souhaitons nous aussi que le savoir psychiatrique puisse se transmettre aux infirmiers. Vous en détaillez justement certaines difficultés. A notre avis cela nécessite d'une part qu'il y ait la volonté de transmettre (et donc pour les ISP une capacité à se projeter dans l'avenir, cet avenir de la psychiatrie dont ils sont professionnellement exclus), et d'autre part qu'il y ait la volonté d'apprendre (pour les nouveaux infirmiers, cela revient à reconnaître le déficit de leur formation passée). Alors des heurts sont en effet à prévoir, mais ils se surmontent et des démarches comme la vôtre autorisent beaucoup d'espoir... D'où vient le rejet des personnes souffrant de troubles psychiatriques? Honnêtement, nous ne le savons pas. Peut-être faut-il se poser ces questions: qu'est-ce que leur présence provoque en moi? Qu'est-ce que je rejette à travers eux?  Merci pour votre témoignage.

R.P.

 

Bonjour, voici l'annonce d'un débat, que nous organisons à la cité des sciences (cité de la santé) le 20 mars. Si vous pensez cela intéressant, merci de le diffuser sur le site. Cordialement.

096

 

Yves Gigou

 

Bonjour, je suis actuellement sur votre site, et j'écris "votre" site, car même si je suis infirmier de secteur psychiatrique, je ne me reconnais pas dans l'image que vous renvoyez des infirmier(e)s D.E. cela d'autant moins que formateur depuis 5 ans, j'ai pu constater une réelle évolution dans l'intérêt porté par nos futurs collègues au champ de la psychiatrie. Vous faites des affirmations qui ne me semblent pas correspondre à ce que je vis au quotidien comme formateur. Je pense que la formation actuelle doit encore évoluer, mais ce que nous proposons aujourd'hui va dans ce sens... / ... nous les formons à développer une logique de soins infirmiers et pas seulement à appliquer des protocoles... Cordialement.

095

Réponse : nous sommes en partie d'accord avec vous, car nous constatons à notre niveau aussi que les étudiants en soins infirmiers s'intéressent de plus en plus à la formation psychiatrique. Cependant cela ne reflète pas à notre avis leurs choix d'orientation professionnelle (depuis la mise en place de la formation unique, ils sont de moins en moins nombreux à intégrer la psychiatrie, qui manque désormais d'infirmiers, ce qui ne s'était jamais vu!). Cet intérêt croissant que vous évoquez pour tout ce qui touche au champ de la psychiatrie trahit plutôt le manque désormais évident de formation initiale, et ils cherchent sur Internet (entre autres) ce que les IFSI ne leur donnent pas (et nous ne mettons pas en cause ici vos qualités professionnelles). Nous vous invitons à relire la "circulaire gouvernementale" du 10 juillet 2003 qui le dit en ces termes: "Il semble néanmoins manquer pour nombre d'IFSI une appréhension globale du champ de la santé mentale, voire même du champ de la psychiatrie". Merci de nous avoir lu et à bientôt.

J. Y.
Cadre infirmier formateur

 

Je suis tombée par hasard sur votre définition de l'autisme que je conteste avec force. La découverte de son origine génétique ne fait maintenant plus aucun doute. Comment pouvez-vous laisser entendre que les parents sont responsables, que la mère est passive, ou étouffante, ou psychotique alors que des chromosomes et des gènes ont été identifiés! Consultez autour de vous et vous verrez que tous vos tableaux sont faux. Une maman qui se porte bien.

094

Réponse : nous avons évidemment connaissance de ces nombreuses recherches qui tentent de trouver une origine génétique à la maladie mentale en général, ou à l'autisme en particulier. Nous respectons les options de ces chercheurs et leurs opinions. Ce ne sont pas celles que nous défendons. Nous tenons néanmoins à préciser: 1/ que le terme "maladie mentale" n'est pas péjoratif dans notre propos. 2/ que la notion de "responsabilité parentale" que vous évoquez, nous vous proposons de l'entendre dans un sens psychanalytique. Il n'y est donc plus question de morale et nous l'abordons alors dans le sens plus vaste des liens relationnels inconscients qui se créent autour du bébé, pour et par lui. 3/ que les textes reproduits dans le site "psychiatrie infirmière" proviennent directement des écrits d'auteurs dont nous respectons les travaux (ainsi par exemple Abraham, Bettelheim, Bion, Bleuler, Kanner, Klein, Mahler, Tustin... etc.). Il nous semble pour l'instant prématuré de les mettre au rebut. Malgré tout cela, si un jour est identifié un gène de l'autisme (ou de la schizophrénie, puisque plusieurs le cherchent aussi), nous vous assurons que l'information paraîtra dans le site. Et ce sera à notre avis une grande découverte. Merci de nous avoir lu et à bientôt.

L. S. 

 

Bonjour, suite à l'appel de Guy Baillon et à la demande de forum (mail 52)...  j'ai crée récemment le yahoo club "psyber cafe" : http://groups.yahoo.com/group/psybercafe Il contient une mail liste permettant d'échanger, une rubrique où mettre des documents en ligne à disposition des membres, un chat ou se retrouver pour discuter en temps réel. (Il ne manque plus que le distributeur gratuit de café virtuel). Inscription sur demande afin d'éviter les intrusions de spammers. Pour les psy, bienvenue au club.

093

Réponse : excellente nouvelle que nous sommes heureux de retransmettre. Bravo pour votre initiative et longue vie à ce club.

Isabelle Baudron

 

Bonjour. La mise en péril de l'activité, de la fonction, de l'identité professionnelle des infirmiers face à des patients et pratiques psychopathologiques qu'ils ne maîtrisent pas (nouvelle formation oblige) met chaque jour le métier d'infirmier psy en danger. Les anciens, dont le rôle pourrait être aussi assimilé a celui d'un échange de savoir ne suit plus car peu puissant et de moins en moins présent (retraite oblige pour certains....). Sans reconnaissance, ni statut et fonction appropriés (outre souvent une approche bienveillante et médicale), apparaît un repli des pratiques infirmières sur elles mêmes laissant s'effriter, s'étioler l'idéologie de la psychiatrie institutionnelle au profit d'une prise en charge infirmière aux allures cognitivistes et comportementalistes (même si cela se pratique, mais par le corps infirmier et pas seulement des individus), mais surtout biochimiques. Le cadre ne fait pas tout, mais les infirmiers ne peuvent plus penser dans ce cadre ou re(père) et identification restent floues et inadaptés (dixit infirmiers). Les anciens sont perdus, les nouveaux sont anxieux et ne savent que faire du symptôme du patient.... Pardonnez mon approche qqle peu directe. Elle est le reflet d'une réalité qui me semble à ce jour mettre en difficulté non seulement l'institution Psy dans son rôle et sa fonction (davantage en intra), mais favorise de manière perverse et dépressive une prise en charge hospitalière où les patients semblent venir menacer (inconsciemment) l'équipe dans son intégrité et identité groupale. Il s'agit là de difficulté pour les infirmiers, d'une mise à distance suffisamment solides des pathologies lourdes et souvent psychotisantes auxquelles ils sont confrontés quotidiennement.... d'ou régression et repli sur les pratiques. N'appelle t'on pas cela des mécanismes de défenses archaïques tels que Kaes, Bion ou Anzieu ont pu le developper. Aussi, quoi de plus normal dans une dynamique institutionnelle ? Merci de m'avoir parcouru. Qu'en pensez vous ? Dans l'attente de vous lire.... 

092

Réponse : votre témoignage éclaire en effet le mouvement de repli et de régression qui s'observe désormais dans les services de psychiatrie. Le lien que vous établissez avec les mécanismes de défense est pertinent. Cela autorise une vision globale du phénomène, une approche intéressante car elle se situe au-delà des seules relations individuelles... Merci pour votre courrier et à bientôt.

B. M.

 

Salut, il me semble important de faire connaître ce nouvel appel de G. Baillon: "J'accuse l'Etat de non assistance à équipes de service public en danger".

091

 

Yves Gigou

 

Bonjour! J'ai fait un dossier sur la psychose pour l'école et votre site m'a beaucoup aidé, il est trés bien fait et permet d'apprendre beaucoup de choses. J'ai vécu pendant sept ans avec une enfant psychotique à la maison et c'est très difficile. Je me demandai juste une chose dont je n'ai pas eu la réponse dans votre site: Pourquoi les psychotiques cherchent-ils à faire du mal (psychologiquement) aux gens qu'ils aiment? bonne continuation et merci d'avance.

090

Réponse : nous vous proposons ci-joint quelques pistes de réflexion sur la violence psychotique. Merci beaucoup pour vos encouragements et votre témoignage.

Adeline

 

Bonjour, je termine ma première année de formation en soins infirmiers. J'aimerais travailler en psychiatrie en sortant de l'école. Je sais effectivement que je serai mal formé, donc je lis des bouquins (Oury, Freud, Nasio, Dejour, Guatari...) - et je sais que lisant seul, je lis mal. Mais je viendrai sûrement travailler quand même ! Attention les routard, un futur mal formé débarquera quand même !!! Mais serait-il possible de récupérer ici d'ancien cours, et d'opérer ainsi une pseudo-continuité des savoirs anciens vers des tête incultes comme la mienne ? Tout et n'importe quoi, même mal scanné, je prends. Merci d'avance, j'aimerais vraiment pouvoir être en mesure de devenir un bon infirmier.

089

Réponse : nous comprenons votre "soif" d'apprendre et pouvons vous assurer que tous les sujets proposés dans notre dossier "Formation" proviennent de ces anciens cours qui vous font défaut. Nous n'avons fait que les ré-écrire sur le clavier, pour en faciliter la lecture. Quant à votre "devenir infirmier", nous sommes très optimistes: votre démarche personnelle démontre que vous mettez beaucoup de volonté dans votre formation. C'est à notre avis la meilleure approche possible pour vous préparer à votre future profession! Bon courage dans vos études et à bientôt.

un étudiant

 

Bonjour, bravo pour votre site. L'objet de mon courrier est le suivant. Je suis étudiant en psycho et travaille (stage long) actuellement dans un service psychiatrique. J'ai l'impression que l'ensemble de l'équipe se replie sur des pratiques pragmatiques et trés axées sur le médical. D'autre part, je sens une difficulté majeure chez cette équipe (certainement identité professionnelle) dû certainement au fait qu'il y a aujourd'hui, semble t'il, un clivage entre ancienne et nouvelles génération d'infirmiers psy... Qu'en pensez vous ? Pardonnez moi si je parais à vos yeux qqle peu direct, il n'empeche que c'est un vrai questionnement de stagiaire. Dans l'attente de vous lire. Respectueusement.

088

Réponse : vos remarques sont justifiées et pertinentes. Nous nous permettons de vous recommander la lecture des pages "Analyse" et "Histoire": nous avons en effet tenté dans la première d'expliquer les causes du (dis)fonctionnement actuel de la psychiatrie, de plus en plus axée sur le médical, comme vous l'avez si bien noté. Nous pensons que l'actuelle formation infirmière, profondément inadaptée à la pratique du soin en psychiatrie, favorise cet état de fait. Les récents infirmiers n'y sont pour rien et subissent eux-aussi les décisions politiques inconsidérées des décennies précédentes, lourdes de conséquences. Vous trouverez dans la page "Histoire" la chronologie des évènements qui ont conduit la psychiatrie dans cette impasse. Nous vous remercions de votre intérêt. Bonne continuation et à bientôt.

Bruno

 

bonjour à tous, je suis élève infirmière en 2ème année. Je commence à chercher un sujet pour mon TFE, et je pensais que vous pourriez m'aider! Je cherche des sites en lien avec la psychose puerperale, mais également sur les problèmes relationnels que peut rencontrer une jeune mère avec son enfant(rejet de l'enfant, difficultés de l'aimer, etc...). Je tiens aussi à vous remercier pour votre site car il m'est trés utile (complet et simple à comprendre!). Bonne continuation et merci.

087

Réponse : outre notre dossier sur la "psychose puerperale", voici une liste d'articles traitant du sujet qui vous intéresse: psychose puerperale / puerperalite / post partum / baby blues / trouble psychique / hospitalisation mère enfant / periode péri natale / grossesse et accouchement etc... bon courage et à bientôt.

Virginie

 

 

 


Haut de Page