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 LE COURRIER EST RELEVE CHAQUE SEMAINE

 

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      TEMOIGNAGES PARUS EN 2005     

      TEMOIGNAGES PARUS EN 2005     

 

LISTE  DES  PRINCIPAUX  THÈMES  ABORDÉS

Patient et hospitalisation

Définition et théorie

Congrès et publications

 

 

 

Bonjour, étudiante en 3ème année je souhaite réaliser mon TEFE sur les activités thérapeutiques en psy. Avez vous des vécus et témoignages sur ce sujet? Merci d'avance ainsi que pour votre site. Je veux ajouter que je comprend l'amertume des ISP par rapport à leur statut et à la nécessité pour eux de passer une équivalence. J'ai fait 3 stages en psy dont un où j'étais encadrée par une IDE (ayant passer son diplome avant 92), qui ne savait pas garder ses distances avec les patients et dont son seul soucis était l'hygiène, obligeant les ISP à mettre des blouses et des chaussures réservées à l'hopital. Heureusement j'ai passé ma dernière semaine avec un ISP qui m'a beaucoup appris. Alors merci à tout les ISP qui doivent continuer à nous transmettre leur savoir sur le terrain, ceux qui choisissent la psy en sortant du diplome ne choisissent pas cette spécialité par hasard, soyez en sûr.

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Réponse : nous transmettons toute information à l'intéressée

G.D.

 

Bonjour, sous l'égide du G.I.P.S.I (Groupement d'Intérêt Professionnel en Soins Infirmiers), 31 associations et syndicats infirmiers organisent des états généraux dans chaque région pour la création d'un ordre infirmier. Ces réunions permettront à la profession infirmière de débattre des problèmes actuels en particulier sur l'ordre infirmier, ses missions, ses structures. Vous trouverez la liste complète remise à jour avec adresse de ces réunions. Nous vous attendons nombreux !!! 

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Guy ISAMBART

 

Votre site est très interessant . Bien qu'étant moi meme formateur dans un IFSI , ISP d'origine , je partage en partie votre analyse du problème sur la "formation unique dans les IFSI inadaptee à la psychiatrie"(voir en référence le dossier "formation unique") car je rencontre énormément d'incompréhension quand j'évoque mes difficultés et mes doutes pour pouvoir enseigner le soin psychiatrique en si peu de temps et avec si peu de cours theorique à des étudiants qui sont pourtant très demandeur . il y a dans les IFSI à mon avis une méconnaissance de la nature du soin en psychiatrie et un certain désinteret il faut bien le dire.../... Vous pourrez m'aider si vous pouviez me communiquer des informations sur = Quelles sont les caractéristiques des soins infirmiers dans les services de psychiatrie, ce qui m'aiderait énormément pour étayer mes -trop rares- cours.  je suis preneur de tout ce que vous pourrez me donner pour m'aider dans mes recherches . Merci à vous et au site

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Réponse : nous vous remercions pour ce témoignage sur les difficultés qu'il y a à enseigner le soin psychiatrique. Nous vous communiquons les informations que nous avons trouvées sur la spécificité du soin infirmier en psychiatrie, avec les références d'article en bas de page pour approfondir votre recherche. Nous vous souhaitons beaucoup de courage dans votre travail et à bientôt.

G.M.

 

 

Bonjour, championne du monde de la consommation d'anxiolytiques, d'antidépresseurs et d'antalgiques, la France continue de creuser le déficit de la Sécurité Sociale! Nous assistons en temps réel à la mise en place d’une médecine à deux vitesses qui pénalisera les personnes aux revenus les plus modestes. Pourtant, des solutions complémentaires à la médecine allopathique existent et feignent toujours d'être ignorées par les pouvoirs publics et par le ministère de la santé. Pourquoi aucune réelle prévention psychologique de la santé de nos concitoyens n’est mise en place par les pouvoirs publics, alors qu’ils en connaissent l’efficacité, tant pour les malades qu’en terme d’économie au niveau des dépenses de santé? Pourquoi tous les projets de réaliser des recherches sur ce thème sont systématiquement bloqués au même titre que les actions de prévention sur le terrain qui ne sont pas subventionnées? La priorité unique et absolue accordée aux lobbies médico-pharmaceutiques par nos politiques (et par bon nombre de médias) n’a-t-elle pas suffisamment fait la preuve de son échec? Même dans le champ de l’aide aux adolescents suicidaires, les subventions sont bloquées pour les initiatives non médicamenteuses. Où sont l'éthique et la déontologie face à ces graves problèmes de santé publique? Paul Zveguinzoff, psychologue clinicien, psychothérapeute, président d'Agir pour sa Santé

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Paul Zveguinzoff

 

Bonjour à tous, je me permets de communiquer avec vous pour vous offrir mes services pour animer des conférences ou des ateliers sur le couple. Je suis en Europe 3-4 fois par année et à la recherche de professionnels intéressés à promouvoir mes activités. Je suis ouvert à la réciproque si vous désirez vous faire connaître au Québec. Pour en savoir davantage: www.yvondallaire.com. Au plaisir de vous lire. Yvon Dallaire, psychologue, auteur et éditeur.

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Yvon Dallaire 

 

Communiqué du CHU de Nantes: les 22, 23 et 24 mars 2006 se tiendra à Nantes (44) le Congrès National Infirmier, « la réponse infirmière aux besoins de santé en France, l’affirmation d’une discipline. » ... / ...

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Bonjour, je me demande encore comment ils ont pu croire qu'il suffit de débarquer les mains dans les poches en psychiatrie pour se déclarer soignant! Ca montre vraiment l'ignorance des politiques et l'arrogance dans les IFSI ...

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M.T.

 

Bonjour, je tombe par hasard sur votre site particulièrement intéressant... Je suis éducatrice Spécialisée et travaille dans un CMP avec des ISP comme collègues. je suis à la recherche d'autres éduc. travaillant aussi en pédo psy et notamment en CMP, afin d'échanger sur la reconnaissance du travail de l'éduc., et sur ce qui différencie le travail de l'éducateur de celui de l'ISP ou IDE et inversement... Bien sûr vous pouvez aussi me répondre si vous êtes ISP, IDE et travaillez avec des éducateurs... Je suis aussi preneuse de références de livres revues ou articles traitant de ce sujet.. Merci à vous,

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Réponse : nous transmettons toute information à l'intéressée

L.B.

 

bonjour je suis étudiant infirmier au CHM de Mayotte. Je vous contacte car je n'arrive pas à trouver une issue pour mon TD 2005 sur le tabagisme en psychiatrie. Mayotte ne dispose pas de centre d'hospitalisation psy et le seul centre qu'on trouve ici c'est un centre de santé mentale qui fait à l'occurrence hopital de jour. Je vous remercie en avance et j'éspère que vous pouvez m'aider.

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Réponse : nous vous remercions pour votre courrier. Voici les informations que nous avons trouvées sur le tabagisme psychiatrique, avec les références d'articles en bas de page pour compléter votre recherche. Bonne continuation et à bientôt.

C.E.

 

Bonjour, je suis psychologue du travail en fin de formation au CNAM à Paris et rédige actuellement un mémoire sur le travail des cadres infirmiers en psychiatrie. Pour la soutenance de mon mémoire prévu en décembre 2005, il me faut inviter dans le jury, des professionnels concernés par le sujet de mon mémoire. Je remercie par avance les personnes intéressées de bien vouloir me contacter.

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j-k@wanadoo.fr 

 

bonjour. Etudiant en psychologie je dois rendre un travail sur la camisole de force et la contention en psychiatrie. Pourriez-vous me préciser si cela est encore utilisé, et si oui, dans quelles conditions l'appliquez-vous, pour quelles pathologies et dans quel cadre thérapeutique? Je vous remercie d'avance pour les informations que vous m'apporterez.

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Réponse : voici les informations que nous avons trouvées sur la camisole et la contention, avec les références d'articles en bas de page pour approfondir votre recherche. Bonne chance et à bientôt.

M.B.

 

Bonjour, Je me permets de vous écrire ; suite à ma démission d'un hôpital psychiatrique où je me sentais trop envahie d'un certain sentiment d'insécurité et de peur pour pouvoir travailler dignement dans ce service. Cela m'amène à réfléchir sur la sécurité au coeur du soin, la violence en psychiatrie et aussi notre part de responsabilité dans tout cela. A nous de nous prendre en main, et de réfléchir à nos propres comportements, nos sentiments ; il est temps de se dire vraiment les choses en face. Même si cela fâchent certains. Nous ne sommes pas des moutons de Panurge. Nous sommes des être humains, doués de sentiments et d'une certaine capacité de réflexion et de parole. A la lumière de mes 15 ans d'expériences et de nombreuses formations en relation d'aide, je vous propose un groupe de partage et de réflexion sur le thème: "notre souci de sécurité au coeur du soin". Pour ceux qui sont intéressés, je vous invite à aller visiter ma page web et à m'appeler. Merci pour votre site de partage. http://www.psycho-ressources.com/claire-baudin.html 

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Claire BAUDIN

 

Je vous écris pour vous annoncer enfin une bonne nouvelle : l'arrivée massive des aide-soignantes dans les unités de psychiatrie régénère des équipes qui se sclérosent. Les aides soignants sont des gens qui écoutent, qui apprennent, ne croient pas tout savoir en arrivant, et qu'on peut former comme il faut. Tout le contraire de ce qu'on connaissait ces dernières années. Collègues ISP ne ratons pas cette chance, formons les comme des héritiers dans le profession. Qui se plaint majoritairement de leur arrivée en psy? les infirmiers D.E. Mais est-ce vraiment un hasard. Je crois sincèrement que les aides soignantes vont apporter du nouveau à la psychiatrie.

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sabine isp

 

Je suis actuellement étudiante en 3ème année et j'ai choisi pour mon sujet de mémoire la motivation des infirmiers en psychiatrie dans un contexte de crise de la psychiatrie. Cela m'apporterait beaucoup d'avoir des témoignages de professionnels de la psychiatrie sur ces quelques pistes de reflexion: La situation actuelle de la psychiatrie (manque de psychiatres, de soignants, de plus en plus de patients pour de moins en moins de lits....) a-t-il un impact sur la motivation des soignants? Quel avenir pour la psychiatrie? Le syndrome d'épuisement professionnel: y êtes vous confrontés? tout témoignage à ce sujet m'interesse beaucoup. Etes vous aussi motivés qu'au début, lorsque vous avez décidé de travailler en psychiatrie? avez vous les mêmes attentes? les mêmes ambitions? Je remercie d'avance tous ceux qui prendront le temps de me répondre.

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yseutsora@yahoo.fr

 

Bonjour, peut etre pouvez vous repondre à une question que je me pose depuis longtemps=Pourquoi les médecins ne réagissent pas à la présence dans les équipes d'infirmiers des personnels de moins en moins formés?

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Réponse : voici une des raisons, mais ce n'est sûrement pas la seule et il convient de ne pas généraliser. Beaucoup de psychiatres de la nouvelle génération se sont détournés des théories psychanalytiques. Ils ne cherchent plus à donner un sens à la maladie. Adoptant la vision Anglo-saxonne d'une psychiatrie qui coûte cher à la société, ils réduisent les symptômes par traitements médicamenteux ou électrochocs (référence à la théorie organiciste), et renvoient rapidement les patients chez eux. Ils ne rechercheront donc pas les débats contradictoires pour lesquels les infirmiers de secteur psychiatrique étaient formés, mais apprécieront par contre l'adhésion d'une équipe infirmière formée en soins généraux. Nous vous proposons de lire à ce propos notre dossier "analyse de la politique de santé mentale". Merci pour votre courrier et à bientôt.

E.V.

 

Je vous avais promis de vous livrer mes premieres impressions suite à ma prise de poste en milieu psy ( D.E depuis 20 ans, témoignage n°129 ) . Cela fait maintenant 2 mois que j'ai commencé et je pense vraiment que j'aurai dû sauter le pas avant . Il est vrai que je n'ai pas de formation initiale d'ISP , mais j'ai qd même fait une formation , et l'hopital dans lequel j'exerce me propose une formation en Juin .Cependant , je crois sincèrement que quelques soient les formations , certains seront de bons soignants ( par ce qu'ils sont au départ , leur propre histoire etc ... )et d'autres ne le seront jamais . Pour ma part , je pense être tout à fait à ma place et si je doute , il faut tjs se dire que nous travaillons en équipe , avec des infirmiers plus " chevronnés " ; je n'hésite pas à les solliciter même les plus jeunes... Dnas mon service , il n'ya pas vraiment de " guerre " entre ISP et DE , l'entente est bonne et accuiellante envers les nouveaux .

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Réponse : nous vous remercions pour ce témoignage très encourageant. Votre premier courrier est à relire au n°129. Bonne continuation et à bientôt.

L.T.

 

Bonjour, le groupe harcèlement professionnel rassemble des gens harcelés qui s'organisent entre eux pour se soutenir, diffuser des informations sur les recours, et mettre sur pied des moyens d'action dans diverses directions. L'adresse est à http://fr.groups.yahoo.com/group/harcelement_professionnel/ 

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Isabelle Baudron

 

Bonjour, Nous faisons à nouveau appel à vous pour diffuser le programme des rencontres que nous organisons en mai sur le thème "au risque de l'humour". Merci de votre collaboration. Très cordialement, Asso. VALFOR 

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Précision : ces rencontres sont organisées par le centre hospitalier Valvert de Marseille.

C.D.

 

je trouve votre site très intéressant, je suis infirmière DE de l'IFSI de Morlaix. Ce qui me déçoit, c'est qu'au premier abord, vous remettez en question nos compétences en psychiatrie de façon générale. Ne faut-il pas vous interroger sur la qualité des différents enseignements dans les différents IFSI, ainsi que l'investissement de chacun ? J'ai moi-même une formation basée sur la clinique du langage, j'ai étudier la psychanalyse pendant trois ans, j'ai travaillé en psychiatrie parce que c'est cela qui m'intéresse, je trouve dommage d'être discréditée ainsi. Je ne trouve pas tout à fait faux ce que vous dites, mais c'est une remarque globale qui ne laisse aucune chance pour nous les DE, de nous investir dans la psychiatrie... Il serait temps d'arrêter cette guerre entre ISP et DE.

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Je suis heureuse de pouvoir lire sur votre site les doutes que je pouvais percevoir quant à ma formation d'infirmière. Actuellement en 3éme année je trouverais sensé, que connaissant mon souhait et les lacunes de la formation "généraliste" dont nous disposons tous et toutes dans les IFSI, pouvoir traverser des lieux psychiatriques pendant mes derniers stages. Hors il n'en est rien (2 stages en psychiatrie sont possible) et j'ai bien peur, malgré mes 3 années 1/2 de formation de ne pas pouvoir exercer dans ce secteur sans une formation personnelle (que j'ai entreprise). Je ne suis pas la seule, je le constate ici. Mon mémoire de fin d'étude à pour thème "l'importance des connaissances cliniques en pédo psychiatrie" et je cherche un historique de la pédopsychiatrie (il existe un "Que sais-je" que je possède) ainsi que des infirmiers dans ce secteur que voudraient bien répondre à un questionnaire (anonyme) que j'ai conçu. Quelque uns seraient ils intéressés ?

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Réponse : nous vous remercions pour votre courrier. Nous vous proposons ici un rapide historique de la pédopsychiatrie et vous souhaitons la participation de nombreux volontaires pour remplir votre questionnaire. Bonne chance et à bientôt.

Simbad20137@aol.com 

 

Bonjour. entierement d'accord avec la personne du n° 111 ca se vérifie tous les jours. on connait les chiffres de la violence dans les services de psy? et les malades sans prise en charge, Voyez le crime horrible de Pau la violence des malades est partout en augmentation constante. je suis abasourdie , horrifiee je n'arrive pas à comprendre les DE ont droit avec 3 mois de formation(?) de travailler en psychiatrie. A t on pensé aux consequences mème pour nous ca devient dangereux maintenant...  Bonne continuation

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M.T.

 

Vous trouverez ci-joint le programme d'une conférence que nous organisons le 2 Mars prochain, sur le thème de l'adoption. Auriez-vous la gentillesse de faire paraître ce programme sur votre site ? Merci Bien à vous  Président asbl PETALES

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R. Bergen

 

Après avoir travaillé 20 ans en hôpital général et surtout en milieu libéral , je m'apprête à prendre un poste en psychiatrie adulte , et c'est un vrai choix de ma part. J'ai mûrement réfléchi depuis plusieurs mois avant de postuler et me suis formée de manière théorique très sérieusement. Je pense donc même s'il existe bcp "d'inconnu" savoir à peu près où je mets les pieds .... J'ai hâte de pouvoir vous faire part de mes premières impressions très prochainement. J'ai trouvé votre site très intéressant .

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Réponse : récrivez-nous vite, nous aussi sommes très intéressés par votre expérience! Merci pour votre courrier et à bientôt (lire son nouveau courrier n°136).

 L.T.

 

La SFPA (Société Française de Psychanalyse Adlérienne) a le plaisir de vous informer de la conférence qu'elle organise en mars (le 12). Bien cordialement. Secrétaire Général SFPA

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Yannick LE JAN

 

Bonjour! je suis étudiante en soins infirmiers en fin de deuxième année. Je viens de tomber sur votre site, et j'ai pour l'instant essentiellement lu les témoignages, qui, certains m'ont fait sourire. En effet souvent revient le thème formation psy "contre" DE. Mes parents sont infirmiers psy et moi je passe bientôt le DE et aimerais travailler en secteur psy. L'autre jour mon père a été muté dans un service et le soir, quand il est rentré je lui ai demandé ses impressions sur sa nouvelle équipe, il m'a répondu: " c'est pas mal mais c'est très "DE".." sur quoi je lui ai demandé ce qu'il entendait par là.. "ben, le matin elles disent bonjour mais font pas la bise. Et puis elles passent des heures à remplir parfaitement les dossiers mais ne sont finalement jamais avec les patients!". Ma mère a rajouté: "faut pas leur en vouloir les pauvres c'est ce qu'on leur apprend à l'école, elles font ce qu'elles peuvent". J'ai pris parti de rire de ces réflexions mais s'en est suivi une discussion sur ma formation et sur mes cours de psychiatrie où je pense que la formation infirmière n'est pas assez longue pour tout apprendre et c'est à nous de nous documenter, de nous renseigner, de nous intéresser à la spécialité qui nous attire. Nous sortons avec des bases et c'est à nous de les faire fructifier. Pour la petite anecdote, un ami isp de mes parents me dit chaque fois qu'il me voit "ça va? toujours le bourrage de crane à ton école?"... De plus, ce qui m'agace fortement c'est quand j'entends dans les services "généraux" après que avoir dit mon désir d'aller travailler en psy: " oh c'est dommage t'aurais fait une bonne infirmière" (...) ou encore " oh la la quelle horreur!! tu devrais y aller dans quelques années sinon tu vas tout oublier (gestes techniques)". J'ai beaucoup d'arguments à leur répondre mais parfois une lassitude me prend et je réponds tout simplement que c'est ce travail là qui me plait un point c'est tout. Chers élèves infirmiers, nous ne sommes pas au bout de nos peines mais il faut apprendre à relativiser et à tout prendre avec le sourire! 

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J.D. 

 

 

 


 

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